Critique de Myrihandes – Le Lac aux Larmes d’Or (tome 3)
« UNE ECRITURE FLUIDE ET POETIQUE. »
par Frédéric Gobillot
Il est toujours délicat de terminer une trilogie, dotant plus qu’elle est de qualité depuis le départ. Guilhem Meric y arrive avec brio dans Le lac aux larmes d’or.
Ses personnages ont atteint leur maturité pour passer à la dernière étape de leur évolution durant cette dernière ligne droite, car il s’agit bien d’un sprint final. Le roman nous tient de bout en bout, même la dernière partie – épilogue avant l’épilogue – à l’histoire reste forte.
Au scénario riche et à l’univers dense s’ajoute un flot de sentiments. Nombreux d’entre eux sont positifs (un peu trop diront certains), mais sans pathos et les personnages sont touchants lorsqu’il le faut. Amour, amitié, valeurs morales, courage et volonté ne sont que quelques-unes des valeurs développées dans cette trilogie et pourtant la fin ne sera peut-être pas aussi rose que l’on pouvait s’y attendre… Peut-être (ou pas) !